Sous le bras, une pelleteuse, un brassard de natation, une plume, un gilet jaune, un déboucheur Technik produit par la firme Realco et… une caméra sur pied, quand même. Que manigance l’équipe de Nationale 4 par ces (trop) beaux jours d’été, en plein milieu du festival Esperanzah! ?
Après nos investigations du printemps, nous voulons en savoir plus sur celles et ceux qui questionnent le béton, sur leur territoire, leur savoir, leur motivation, leur perception. Nous nous faisons une petite place dans le réseau “Occupons le Terrain”, qui tient un stand au festival Esperanzah!, à Floreffe. Occuper le terrain : ça tombe bien, les organisateurs du festival en on fait leur slogan pour leur vingtième édition. Pendant quatre jours, Nationale 4 dépose donc ses valises et plante sa caméra dans le Namurois. Voici ce que nous y avons appris…
Une carte des collectifs qui font partie du réseau “Occupons le terrain!”
Le samedi 30 juillet, nous allons à la rencontre de Claire Scohier d’Inter-Environnement Bruxelles et de Jean Peltier, un “sage” du réseau Occupons le Terrain. Ils livrent leur regard sur la situation immobilière à Bruxelles et en Wallonie. Et proposent des solutions concrètes pour soutenir les luttes de territoire.